Ignanes, Cactus, roches volcaniques. La Désirade est un environnement très particulier. Elle est cependant pas toujours très bien connue même des Guadeloupéens.
La Désirade, 7 février 2025 – Les élèves de première spécialité SVT du lycée Faustin Fléret ont exploré les richesses naturelles de la Désirade, accompagnés par l’association Titè et de leur professeur M. Natelhoff.
Rencontre avec des espèces endémiques de La Désirade
Son climat sec fait de La Désirade une particularité écologique dans l’archipel Guadeloupéen. Cette sortie a permis de découvrir l’écosystème unique de l’île, avec l’observation d’espèces endémiques : « Tête à l’anglais », du Gaïac, et de l’iguane vert, emblèmes de la biodiversité locale. Ces écosystèmes fragiles subissent le changement climatique, et les activités humaine. C’est pourquoi des réserves écologiques et géologique ont été crées.
On a marché sur des laves océaniques du jurassique
Sur le plan géologique, les lycéens ont étudié les célèbres « pillow lavas » du Jurassique, témoignages des anciennes activités volcaniques sous-marines. Ces formations, vieilles de 150 millions d’années, offrent une plongée dans l’histoire géologique de la Caraïbe.
Cette immersion sur le terrain a permise de mettre en application les méthodes et techniques vues en classe, tout en sensibilisant à la préservation de ce patrimoine naturel exceptionnel. Une expérience enrichissante, alliant science et découverte.


Les conditions climatiques, chaud et sec, plus son isolement de la Grande Terre, fond de La Désirade une terre peuplée d’espèces parfois endémiques. On ne les trouve que là.

Les élèves ont pu découvrir sur place l’iguane des petites Antilles. Présent uniquement à La Désirade et Petite Terre, il est totalement vert et plus petit que celui de la Guadeloupe.
